Devant vous, un livre. Un beau livre, relié à l’ancienne. Sur son plat avant s’étale un titre chatoyant de couleurs, surmonté d’un nom : « Les Mots reliés, Clémence Givonetti ».

Vous vous approchez, caressez l’ouvrage. Et des mots soudain chantent à vos oreilles, des images défilent devant vos yeux.

« Reliure ». Vous reconnaissez le livre entre les mains d’une artisane qui soigne ses blessures, qui le pare de dorures et de couleurs, qui coud patiemment ses pages.

« Correction ». Ces pages, vous les retrouvez scrutées par des yeux attentifs et garnies d’annotations, leurs marges remplies de commentaires encourageants, leurs mots portés au meilleur d’eux-même.

« Écriture ». Une main tient un crayon et, sur le papier, vous voyez se poser ces même mots, les mots du livre, appelés par l’élan du crayon et l’émulation d’un groupe de voix assemblées là.

Sur le livre toujours devant vous se superposent maintenant les trois étapes de sa création. Un livre, trois activités. C’est ça, Les Mots reliés.

Vous prenez le livre. Il reste tant à explorer.

Que relie l’artisane dans son atelier ?

Comment corrigent ces yeux attentifs et bienveillants ?

Quels chants le crayon écrit-il ?

Et qui est cette Clémence Givonetti, quel est son parcours pour avoir ainsi les mains d’une relieuse, les yeux d’une correctrice et le crayon d’une autrice-rédactrice ?

Comment entrer en contact avec elle ?

Qu’a-t-elle à partager ?

À raconter ?

Ouvrez le livre. Vous le découvrirez.

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